Au détour d’un amour
Au détour d’un sourire se trouvait un secret
Que dans l’air qui conspire sans savoir je cherchais
Tes lèvres, sans réfléchir, sur moi se sont posées
A l’ombre d’un soupir il me fut révélé
Au cœur de son désir il y avait un coffret
Qu’un gardien endormi devait laisser filer
Une clé sous un tapis d’un rouge déroulé
Délivrait ma conscience de sa prison dorée
Au creux de ses plaisirs y avait un péché
Défiant les interdits qui font sa renommée
La caresse du calice sur ses joues empourprées
Prélude au sacrifice de nos corps dénudés
Sous ses yeux repliés une larme s’embrasait
Rejoignant toutes ses sœurs que son corps ruisselait
Perlant sur un rubis serti de milles baisés
Qui dans un dernier cri se laissa dérobé
Au seuil de ses remords il y avait un regret
Perceur de coffre fort qu’un aveu condamnait
Refermait sur son corps le rideau déchiré
Du secret qu’un sourire n’avait pas su garder
Sur le bord de sa route il y avait un bouquet
Qu’une mariée de septembre avait abandonné
Me laissant en échange d’une robe immaculé
L’amour au goût de cendre que mes yeux dispersaient
A la croisée des ombres son souvenir blessé
Gisant sous les décombres d’une splendeur oubliée
Vivait chaque seconde comme une éternité
Attendant que la mort décide de l’achever
…
Au détour d’un sourire se trouvait un secret
Que dans l’air qui conspire sans savoir je cherchais
Tes lèvres, sans réfléchir, sur moi se sont posées
A l’ombre d’un soupir il me fut révélé
Au cœur de son désir il y avait un coffret
Qu’un gardien endormi devait laisser filer
Une clé sous un tapis d’un rouge déroulé
Délivrait ma conscience de sa prison dorée
Au creux de ses plaisirs y avait un péché
Défiant les interdits qui font sa renommée
La caresse du calice sur ses joues empourprées
Prélude au sacrifice de nos corps dénudés
Sous ses yeux repliés une larme s’embrasait
Rejoignant toutes ses sœurs que son corps ruisselait
Perlant sur un rubis serti de milles baisés
Qui dans un dernier cri se laissa dérobé
Au seuil de ses remords il y avait un regret
Perceur de coffre fort qu’un aveu condamnait
Refermait sur son corps le rideau déchiré
Du secret qu’un sourire n’avait pas su garder
Sur le bord de sa route il y avait un bouquet
Qu’une mariée de septembre avait abandonné
Me laissant en échange d’une robe immaculé
L’amour au goût de cendre que mes yeux dispersaient
A la croisée des ombres son souvenir blessé
Gisant sous les décombres d’une splendeur oubliée
Vivait chaque seconde comme une éternité
Attendant que la mort décide de l’achever
…