Hors concours
La porte entrouverte...
( mon rêve )
J'entrebâille une lourde porte d'hôpital,
Je découvre ton visage livide et si triste,
Un pâle sourire de détresse... et j'ai mal.
Tu fixes la porte...sentence minimaliste !
Et je pousse un voile qui ne s'ouvre plus,
Mon cœur à chaque fois cesse de battre,
Il écoute le tien si faible, à jamais perdu.
Je ne vois plus que ton visage d'albâtre.
Je crois apercevoir une âme arc-en-ciel,
Forçant les barrages de ce pays d'ombre,
Signe d'un improbable reflet existentiel,
Je vis dans le déni, m'invente un monde,
Un monde où l'absence n'existerait pas.
Une caresse se promène sur mon épaule,
La chaleur humaine d'avant ton trépas,
Sans toi je ne suis qu'une plante acaule.
je vis sans toi, j’espère que tu m'attends
Derrière cette tenture à peine refermée,
Qu'un jour funeste, poussée par le vent,
Elle s'ouvrira sur ta lumière immaculée.
( à ma sœur )
La porte entrouverte...
( mon rêve )
J'entrebâille une lourde porte d'hôpital,
Je découvre ton visage livide et si triste,
Un pâle sourire de détresse... et j'ai mal.
Tu fixes la porte...sentence minimaliste !
Et je pousse un voile qui ne s'ouvre plus,
Mon cœur à chaque fois cesse de battre,
Il écoute le tien si faible, à jamais perdu.
Je ne vois plus que ton visage d'albâtre.
Je crois apercevoir une âme arc-en-ciel,
Forçant les barrages de ce pays d'ombre,
Signe d'un improbable reflet existentiel,
Je vis dans le déni, m'invente un monde,
Un monde où l'absence n'existerait pas.
Une caresse se promène sur mon épaule,
La chaleur humaine d'avant ton trépas,
Sans toi je ne suis qu'une plante acaule.
je vis sans toi, j’espère que tu m'attends
Derrière cette tenture à peine refermée,
Qu'un jour funeste, poussée par le vent,
Elle s'ouvrira sur ta lumière immaculée.
( à ma sœur )
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